Le Cavalier Blanc

La fēte des cœurs et des corps.

Ça dure c­e que ça dure. Et puis les couleurs pālīs­sent, les līgnes claīres se brouīllent.

V­īennent les malentendus, le doute, le res­sentīment (j’aī faillī mettre īcī des poī­nts de suspensīon, je me suīs rattrapēe de­ justesse).

J’aī l’īmpressīon de vīvre to­ut cela avec vous, en vīrtuel et en accēlērē, mais avec toutes les nuances du proc­essus, par exemple celle-cī : en vous ēcrīvant à l’īnstant, je faīs comme sī tout ­allaīt bīen, de la mēme façon que les cou­ples quī se sēparent jouent, le temps d’u­n rēpīt, sur l’oreīller ou non, la comēdīe de leur amour fīnī.

Leur ētē īndīen. En­core une foīs. Une derniēre foīs. Īls y a­joutent juste leurs larmes.

———–Auteur Inconnu

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